L’exposition au soleil stimule la synthèse de la vitamine D mais ce n’est pas une raison pour s’exposer : les carences rares doivent être compensées par un complément alimentaire. Ce n’est pas l’exposition au soleil qui améliore le moral mais la luminosité. A forte dose les UV deviennent négatifs pour notre peau. D’abord à cause d’un risque de brûlures – les coups de soleil – et à plus long terme d’un vieillissement prématuré de la peau. Le plus grand danger est la menace du cancer, comme le mélanome, dont l’incidence a nettement augmenté ces dernières années. Bien sûr, tout le monde connaît ces risques… Et pourtant les comportements ne changent pas suffisamment rapidement, il n’est pas rare de voir des enfants au bord des plages entre 11h et 16h, en plein soleil. Pourtant ce sont des horaires où il ne faut pas s’exposer, et ce d’autant plus pour les enfants. Alors même que les coups de soleil attrapés pendant l’enfance sont un facteur supplémentaire de risque de cancer. D’abord, ne pas se fier forcément à l’ensoleillement pour appréhender le risque. Si les nuages et le vent ralentissent les rayons infrarouges et avec eux la sensation de chaleur, les rayons UV, nocifs pour la peau, restent eux bien présents, malgré le temps couvert. Différents outils permettent de mesurer l’indice UV notamment l’application SOLEILRISK qui vous indique cet indice en géolocalisation. Ensuite, éviter de s’exposer entre 11h et 16h. Ne pas trop se découvrir : les vêtements, sombres de préférence, constituent la meilleure des protections. Et ne pas oublier la crème solaire, d’indice 50+, à renouveler toutes les deux heures pour les parties découvertes. Pour ceux qui pratiquent des sports aquatiques, des vêtements adaptés anti-UV ont été développés : ils sont en vente dans les magasins de sport.
Pneumonie ou pneumopathie bactérienne : définition et facteurs de risque
La pneumonie ou pneumopathie bactérienne est une infection aiguë pulmonaire bactérienne, due le plus souvent au pneumocoque, mais aussi au Mycoplasma pneumoniae et à…